l’infini
On n’écrit pas, il est vrai, pour les sots, mais on a tort ;
il faut avoir égard aux sots en ce monde, car étant très nombreux, stultorum immensus numerus, (le nombre des sots est infini) ils sont très-puissants.
L. Peisse.
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This entry was posted on Monday, March 10th, 2008 at 5:54 pm. It is filed under prose and tagged with michèle voltaire marcelin, peisse.
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