Mélancolie
Et que j’aime ô saison,
Que j’aime tes rumeurs
Les fruits
tombant sans qu’on les cueille
Le vent et la forêt qui pleurent
Toutes leurs larmes en automne
feuille à feuille
Les feuilles
Qu’on foule
Un train
Qui roule
La vie
S’écoule
Guillaume Appolinaire
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This entry was posted on Thursday, January 17th, 2008 at 10:16 pm. It is filed under poetry and tagged with guillaume appolinaire, poème.
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